Il faut admettre que la majorité des femmes consacrent plus d’attention à leur visage qu’à leur cou. Résultat, souvent quelques décennies plus tard, leur peau s’est davantage abîmée au niveau de cette zone oubliée.
Quand bien même, la zone du cou n’a pas été délaissée, il faut savoir que les cosmétiques destinés au soin du visage, tout comme ceux conçus pour les soins du corps, ne sont pas adaptés à la peau du cou.
La peau du cou diffère de celle des autres parties du corps.
La peau du cou est plus fine que celle du visage, il est facile de le vérifier en pinçant légèrement la peau du cou, puis celle du visage.
En fait, la peau du cou n’est pas seulement plus fine, elle est aussi beaucoup plus fragile et sensible.
Les dermatologues le confirment : la peau du cou est aussi délicate et sensible que celle des paupières.
La deuxième raison pour laquelle la peau du cou est différente est qu’elle produit moins de sébum, l’huile sécrétée par les glandes sébacées pour nourrir et hydrater l’épiderme.
Le sébum n’est pas très « glamour », surtout quand il est produit en excès, car il donne un aspect luisant au visage.
Pourtant, cette sécrétion naturelle est indispensable à la santé et au bel aspect de la peau.
Or le cou contenant très peu de glandes sébacées, la peau à ce niveau aura tendance à se déshydrater beaucoup plus vite, à cause de ce manque chronique de sébum.
Elle cumule donc le double handicap d’être plus fine et plus sujette au dessèchement.
Avec le temps, cette finesse et cette tendance au dessèchement vont accélérer le phénomène de relâchement.
De ce fait, quel que soit le prix ou la qualité, les produits de soins pour la peau ne sont pratiquement jamais formulés pour répondre aux besoins spécifiques du cou.
La peau contient 70 % de collagène, une protéine fibreuse qui constitue le matériau de base du derme. Cette haute teneur en collagène lui donne sa densité, sa fermeté et son aspect rebondi.
À la manière d’une éponge, le collagène attire l’humidité, ce qui maintient l’hydratation de la peau de l’intérieur.
La peau contient aussi de l’élastine, une autre protéine directement responsable de l’élasticité des tissus.
C’est l’élastine qui donne leur résilience aux fibres élastiques du derme et permet à la peau de reprendre sa position d’origine, après un pincement ou un étirement.
Avec le temps, le corps produit de moins en moins de collagène et d’élastine et les réserves diminuent jour après jour.
C’est ainsi que l’hydratation et l’élasticité des tissus s’altèrent et que la peau perd sa tonicité.
La peau du cou est plus fine car elle contient moins de collagène.
Comme nous l’avons déjà décrit précédemment, au fil du temps, sa finesse s’accentue tandis que son élasticité diminue.
Sous l’effet de la gravité, la peau s’affaisse progressivement et, le manque de sébum aggravant la situation, le dessèchement cutané du cou s’accélère.
Quand il devient excessif, il se manifeste par ces lignes horizontales qui apparaissent sur le cou.
De plus, cette peau plus fine et qui produit moins de sébum nourricier, est plus vite endommagée par le soleil.
Voilà pourquoi la zone du cou est beaucoup plus sujette aux taches pigmentaires et nécessite des soins spécifiques.
Voici les trois principaux signes du vieillissement cutané :
- l’affaissement, qui s’observe sous les mâchoires, autour des bajoues et le long du cou
- le plissement cutané, qui se traduit par des rides horizontales et une peau fripée
- la pigmentation irrégulière, avec l’apparition de taches de vieillesse, de couperose et des traces laissées par le soleil
La plupart des crèmes pour le visage ne sont pas conçues pour répondre à ces problématiques particulières !
Il existe une solution naturelle, non-chirurgicale et simple à mettre en œuvre, pour répondre à ce problème qui peut s’avérer frustrant et déprimant.
Cette solution se trouve dans les molécules d’une algue unique, aux propriétés extraordinaires. Il s’agit d’une algue rare et précieuse que l’on trouve sur les plages de l’archipel de Bréhat, en Bretagne.
Cette algue anti-âge s’appelle la Pelvetia canaliculata.
L’algue Pelvetia est récoltée sur l’archipel de Bréhat, un site marin réputé dans le monde entier. Cet archipel breton abrite plus de 800 espèces d’algues et des centaines d’espèces de plantes marines.
Cette richesse aquatique, la pureté et la qualité de ses eaux font que l’archipel de Bréhat est parfois appelé « l’Amazonie sous-marine ».
C’est dans cet environnement unique au monde que vit l’algue Pelvetia, en partie haute de la plage, et c’est la raison pour laquelle les marées ne viennent la recouvrir que toutes les deux semaines.
C’est justement cette capacité à retenir l’eau que la peau finit par perdre, au fil des années, en particulier là où elle est la plus fine.
L’eau est l’élément dont la peau a le plus besoin pour vivre, se renouveler, rester jeune et belle. Ainsi, lorsqu’elle devient plus sèche, des rides, des plis et des taches peuvent apparaître.
C’est là qu’intervient le pouvoir rajeunissant de l’algue Pelvetia.
L’utilisation d’un liquide extrait de l’algue Pelvetia va permettre de remplir des petits réservoirs d’eau qui se trouvent dans les cellules de la peau et que l’on appelle les glyco-amino-glycanes.
Ces réservoirs d’eau cellulaires perdent environ 10 % de leurs capacités tous les 10 ans.
En utilisant un extrait de Pelvetia, la peau va automatiquement profiter de cette nouvelle capacité à retenir et à concentrer l’eau dans ses réservoirs cellulaires, là où elle en a le plus besoin pour rester bien hydratée.
Au cours d’une étude clinique menée auprès de femmes de plus de 50 ans, des scientifiques indépendants ont constaté que :
- la surface totale des rides de ces femmes avait diminué de 16 %
- le nombre de rides avait diminué de 15 %
- et la profondeur des rides avait diminué de 5 %
Ces résultats ont été obtenus au bout de 42 jours seulement.(3)
Le pouvoir super-hydratant de l’algue Pelvetia est donc un atout considérable pour rajeunir le cou.
À partir de 40 ans et à fortiori après 50 ou 60 ans, une meilleure hydratation est la clé de voûte pour retrouver un cou d’apparence plus jeune, plus tonique et plus lisse.
En plus de son pouvoir super-hydratant, l’algue Pelvetia stimule la production de deux autres molécules de jeunesse que la peau perd au fil des années.
La première de ces molécules est le collagène.
Pour être lisse, la peau doit contenir environ 70% de collagène.
Dès 20 ans, le corps perd chaque année environ 1 % de sa capacité à produire du collagène.
C’est la deuxième cause qui accélère le vieillissement de la peau.
À 40 ans, c’est environ 20 % du collagène qui a déjà été perdu, à 60 ans 40%, et ainsi de suite.
Or le collagène est le ciment naturel qui permet aux cellules de la peau de rester fermement collées les unes aux autres.
Lorsqu’il est en quantité insuffisante, des fissures se créent dans la matrice de la peau.
Au fur et à mesure, ces fissures se transforment en rides qui deviennent de plus en plus nombreuses, de plus en plus grandes, de plus en plus profondes et de plus en plus visibles.
Voilà pourquoi la relance de la production de collagène est cruciale pour combler ces micro-fissures et estomper naturellement et progressivement les rides et les plis au niveau du cou.
La deuxième molécule indispensable pour la peau est l’acide hyaluronique.
Pour être ferme, la peau du cou a besoin de grandes quantités d’acide hyaluronique.
Moins il y a d’acide hyaluronique dans les cellules de la peau du cou, plus celle-ci se relâche, provoquant alors ce phénomène que certains appellent « le cou de dindon ».
Grâce à l’action de l’algue Pelvetia qui :
- hydrate et nourrit la peau en remplissant ces petits réservoirs d’eau qui sont dans les cellules du peau
- comble les micro-fissures cutanées et estompe les rides en augmentant les réserves en collagène
- raffermit et retend la peau en augmentant les réserves d’acide hyaluronique
le cou peut alors retrouver progressivement un aspect plus jeune, lisse et ferme.
Sources :
- Fucoid Macroalgae Have Distinct Physiological Mechanisms to Face Emersion and Submersion Periods in Their Southern Limit of Distribution, Plants (Basel) 2021 Sep 14, Maria Martins , Cristiano Soares , Inês Figueiredo and al.
- Collagen dehydration, Int. J Biol Macromol 2022 Sep 1, Richard G Haverkamp, Katie H Sizeland, Hannah C Wells
- Secma. Une algue qui lisse les rides – Le Télégramme – 01 avril 2003